30 ans après #Tchernobyl : sortir du nucléaire est toujours une urgence !
Le triste anniversaire de la catastrophe de Tchernobyl nous rappelle à quel point le nucléaire est mortel et que ses conséquences durent dans le temps. Plus récemment, Fukushima nous a montré que personne n’est à l’abri d’un accident nucléaire.
Aux enjeux de dangerosité et environnementaux ce sont ajoutés les enjeux financiers et de stabilité énergétique. Malgré l’urgence les gouvernements successifs pratiquent une fuite en avant toujours plus couteuse et dangereuse. En effet, les chantiers EPR patinent et coutent plusieurs milliards au contribuable, la gestion des déchets nucléaires n’est toujours pas réglée et le projet d’enfouissement de Bure largement sous-évalué en termes de coût.
Malgré cela, au lieu de réorienter notre secteur de l’énergie vers le renouvelable, nos élites préfèrent laisser couler un fleuron national EDF en lui attachant le mal en point AREVA.
C’est là l’immense gâchis organisé par l’État. Alors qu’il nous faudrait faire des énergies renouvelables, du démantèlement des centrales et de l’isolation des logements des filières d’excellences qui permettraient de créer des milliers d’emplois, nos gouvernants s’entêtent à tenir sous perfusion une filière sans avenir.
Les écologistes ont été les premiers à alerter sur l’impasse du nucléaire. Aujourd’hui, de plus en plus de citoyen-ne-s nous rejoignent. Nous devons de continuer ce combat, ne rien lâcher. Dans la rue, par les initiatives locales et à l’Assemblée nationale nous agissons et continuerons d’agir pour la sortie définitive du nucléaire.
Voter pour Simon BAUMERT et Anny ZORN le 22 mai, c’est choisir la sortie du nucléaire et en priorité la fermeture de la centrale de #Fessenheim.